[Prisme] Actualité agricole et agroalimentaire

Retrouvez l’avis des experts Crédit Agricole sur la conjoncture agricole et agroalimentaire dans ce nouveau numéro de Prisme daté d’avril 2016.

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Crédit Agricole

Crédit Agricole

Le Crédit Agricole est un des partenaires stratégiques de l’ANIA.

 

Le Groupe Crédit Agricole, par son organisation et les moyens mis en œuvre, dispose d’une expertise et de compétences agroalimentaires uniques sur le marché, avec un pôle exclusivement dédié aux marchés de l’agriculture et de l’agroalimentaire, ainsi que des filiales spécialisées par métier (capital investissement, ingénierie financière, fusion-acquisition, réseau international). Ce dispositif combinant la relation de proximité et les compétences spécialisées permet à chaque entreprise agroalimentaire de trouver une solution sur mesure à la globalité de ses besoins, que ce soit dans sa gestion au quotidien, ses financements, son accompagnement à l’international, jusqu’à sa réflexion stratégique de développement et sa mise en œuvre.

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Prisme-avril

Au sommaire du numéro de PRISME d’avril 2016 :

Décryptage

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  • VOLAILLE DE CHAIR : La France abat de plus en plus, mais perd son leadership européen au profit de la Pologne, et sa balance commerciale continue de se détériorer.
  • GÉNÉTIQUE : La loi sur la biodiversité pourrait fixer des limites plus strictes à la brevetabilité du vivant.
  • CÉRÉALES : L’Égypte a rejeté un second cargo de blé pour cause d’ergot.
  • AGROCHIMIE : Augmentation des utilisations de phytosanitaires.
  • PRODUITS BIOLOGIQUES : Une consommation en hausse.
  • SPIRITUEUX : Campari rachète Grand Marnier.
  • AGROCHIMIE : Imbroglio sur le renouvellement de l’autorisation du glyphosate.
  • RUSSIE, UKRAINE, EUROPE DE L’EST : Cargill se désengage de l’agrofourniture en grandes cultures.

Porc charcutier

prisme-porcDepuis des mois, l’élevage français vit une période particulièrement difficile, et dans les revendications des éleveurs, en particulier des producteurs de porcs, l’attente qui revient en permanence est clairement une remontée des cours, ou, pour reprendre une expression maintes fois entendue, « retrouver un prix qui rémunère le travail de l’éleveur ». Mais dans le contexte que vit l’élevage français, cela doit-il rester une incantation sans espoir d’être exaucée, où bien y a-t-il encore un chemin possible vers l’établissement de prix d’achat de leurs porcs qui rémunèrent correctement et durablement les éleveurs ?

TTIP OU TAFTA

prisme-ttipL’agriculture et l’industrie alimentaire sont un détail parmi les enjeux de ce traité entre géants économiques, qui vise avant tout à conserver le premier rôle pour le tandem États-Unis/Europe.

 

L’agroalimentaire européen, aujourd’hui fortement excédentaire avec les États-Unis, a des chances d’y perdre. C’est aussi un affrontement entre des conceptions différentes de la qualité alimentaire et même des choix politiques.